Les
« Missions Scientifiques » rythment bien évidemment
la vie de l’ODS. Celle-ci a certainement marqué l’année
2004 !
Philippe
Marlin ©
Vendredi
30 avril 2004 :
les limousines de l’ODS quittent la capitale, avec à
leur bord, outre votre serviteur, Irène O., Alain B., Antonin
O., Carole A. et Morgan R. Direction Interlaken pour visiter le
parc « Von Däniken », dédié aux lourdes
révélations de l’archéologie alternative.
Erich
von Däniken est né en Suisse en 1935
; il connaîtra un succès rapide à partir de
1968 avec la publication de son premier ouvrage « Chariots
of God ». Nous sommes alors à la fin des années
Planète, les chercheurs ont ouvert les fenêtres et
émettent les hypothèses les plus folles visant à
réconcilier science et tradition. Parmi ces disciplines sulfureuses
figure en bonne place celle des « Anciens Astronautes ».
Se fondant sur l’archéologie et l’étude
des textes sacrés, les tenants de cette école nous
expliquent que la terre a été visitée dans
un lointain passé par des créatures venues d’ailleurs,
qui de surcroît pourraient être nos ancêtres.
Erich von Däniken fut le porte-parole de cette école,
talonné de près, il est vrai, par le français
Robert Charroux. Cette idée « lumineuse » se
traduisit par une véritable boulimie éditoriale (publication
d’une trentaine de livres), prolongée et entretenue
par de nombreuses séries TV. En 1996, Erich Von Däniken
créa avec son épouse une fondation, afin de gérer
ses volumineuses archives et d’aider la recherche sur «
les Grands Mystères de ce monde, et notamment les vestiges
énigmatiques des cultures passées ». Mais la
cerise sur le gâteau sera évidemment l’ouverture
en mai 2003 du « Mystery Park », afin de vulgariser
sous une forme ludique ses théories….. Je ne serais
pas complet si je ne précisais pas que notre suisse de génie
possède également son fan-club, « A.A.S.
R.A. - Archaeology, Astronautics and SETI Research Association »,
lequel publie la revue « Legendary Times ».
Robert
Garnier, le spécialiste odésien des « Anciens
Astronautes », n’a pu se joindre à notre expédition.
Il bombardera, pendant le trajet, mon téléphone portable
de SMS, recensant les livres de Von Däniken que je devrai lui
acheter !
Nous
arrivons en fin d’après midi à Interlaken, non
sans nous être ébahis devant la beauté du paysage
lacustre. « C’est la Suisse comme sur les cartes postales
» constatera de façon très philosophe Irène
O. Jean-Pierre B, le régional de l’étape, nous
attend au Bahnhof Hotel. Nous allons reconstituer nos forces autour
de quelques décis de fendant.
Samedi
1er mai 2004
: le Mystery Park est à la périphérie de la
ville, sur un ancien aérodrome militaire. Il pleut des cordes.
Mais heureusement, le parc est couvert. L’ensemble est flambant
neuf et équipé des technologies les plus sophistiquées.
Nous serons dotés d’un petit appareil avec écouteurs
pour suivre la visite dans la langue de Molière. Une petite
précision pour les futurs visiteurs : il faut prévoir
une journée complète pour profiter de l’endroit
et faire le tour du sujet ; nous sommes arrivés à
10 heures (heure de l’ouverture), et sommes repartis vers
17h30 (fermeture à 18 heures).
Le parc est organisé sous forme d’anneau circulaire,
divisé en sept modules thématiques, autour d’une
base centrale qui regroupe les activités commerciales (boutiques)
et de détente (restaurants, bars, animations diverses).
Partons
à l’exploration de l’anneau (1) ; chaque module
thématique comprend un grand amphi où sont proposées
des animations vidéo de 30 minutes environ chacune, ainsi
qu’un certain nombre de salles d’exposition.
Module
Vimana : un touriste rentre dans une bibliothèque
publique quelque part en Inde pour chercher de la documentation
sur l’architecture des temples de la ville ; il est accueilli
par une bibliothécaire plus qu’accorte qui lui fait
découvrir d’incroyables manuscrits, bourrés
de schémas de navettes spatiales……. antiques.
« Un appareil qui se meut de lui-même comme un oiseau,
que ce soit sur la terre, dans l’eau ou dans les airs, s’appelle
Vimana. Les dieux connaissent le secret permettant de construire
des appareils volants ». Que décrivent les écrits
de l’Inde antique ? Fantaisie ou réalité fantastique
?
Ce sujet m’a toujours fait sourire, car je n’ai jamais
pu me mettre sous la dent les textes en question ! Voilà
ce qu’en dit par exemple l’Association Québecoise
d’Ufologie ©
Il
n'existe pas d'évidences physiques d'anciennes technologies
indiennes d'appareils volants, cependant, les références
à d'anciennes machines volantes sont très nombreuses
à l'intérieur des anciens textes indiens. Plusieurs
histoires décrivent leurs utilisations comme arme de guerre.
La
plupart de ces écrits proviennent de textes aussi anciens
que les 4e, 5e et 6e siècles av. J.-C. et préservés
par les monarques qui dirigeaient les Indes à ces périodes.
Les scribes de cette époque prenaient grand soin pour s'assurer
que leurs écrits étaient basés sur des sources
authentiques. Malheureusement, les documents traduits de ces librairies
n'indiquent pas sur quelles sources ces histoires sont basées.
Plus de 95% de ces anciens écrits demeurent non traduits.
Les
plus fabuleux écrits indiens traduits des anciens textes
Sanskrits sont le « Mahabharata » et le « Ramayana
». Ces deux textes décrivent une guerre dont la férocité
dévasta le monde. Les protagonistes de cette guerre utilisaient
de puissantes machines aériennes dont les plus fameuses se
nommaient les Vimanas. Autant le « Mahabharata » que
le « Ramayana » décrivaient le Vimana comme étant
un véhicule aérien de forme circulaire, et d'un autre
d'une forme rappelant le cigare. Les deux appareils possédaient
un dôme. Les détails spécifiques pour la construction
de ces engins sont décrits dans les deux cents stances compris
dans le "Vaimanika Sastra" écrit autour de 400
av. J.-C. par Bharadvajy le Sage et traduit en 1875.
Un
des aspects le plus surprenant de ces écrits indiens est
la similitude avec les techniques de combats modernes. Les écrits
décrivent également les méthodes de préservation
de carburant en volant à diverses altitudes, des atterrissages
forcés causés par l'ennemi, et les dommages causés
par la collision avec des oiseaux. D'autres stances avisent de l'importance
d'éviter les tempêtes à haute altitude ainsi
que l'absorption d'énergies solaires pour repartir un moteur.
Le « Vaimanika Sastra » consacre huit chapitres incluant
des diagrammes à la description de plusieurs types d'engin.
Il mentionne également 31 parties essentielles de ces véhicules
et 16 types de matériaux pouvant être utilisés
pour leur construction. Lorsque non utilisés, les Vimanas
étaient stationnés dans un endroit appelé Vimana
Griha, un genre de hangar fortifié.
Les
Vimanas étaient propulsés par un carburant de couleur
jaune-blanc ainsi que d'un coeur alimenté par un mélange
à base de mercure. Les Vedas, anciens poèmes indiens
considérés comme les plus anciens des textes indiens,
décrivent les Vimanas comme étant de formes et de
dimensions diverses et leurs designs variaient selon leurs utilités.
L'empereur indien Ashoka était si convaincu de l'authenticité
de ces écrits qu'il créa la « Société
Secrète des Neuf Hommes Inconnus » composée
de neuf grands scientifiques indiens qui avaient comme tâches
de cataloguer les différentes sciences mentionnées
dans les anciens écrits ainsi que d'occulter toutes anciennes
informations à la population. Il était apeuré
à l'idée que les sciences avancées décrites
dans les textes anciens amènent la dévastation de
son empire, un destin similaire qui foudroya l'ancien Empire Rama.
L'Empire
Rama est décrit dans le « Mahabharata » et le
« Ramanyana ». Ils décrivent l'Empire Rama comme
étant une civilisation technologiquement supérieure
dont la caste noble pouvait voler partout sur terre, jusqu'à
la lune et éventuellement au travers du système solaire.
Atteignant son paroxysme, il y a 1200 ans, l'Empire Rama s'étendait
du Nord de l'Inde jusqu'au Pakistan. L'Empire possédait sept
grandes citées appelées « Les Sept Villes Rishi
». Les nobles voyageaient d'une ville à l'autre par
les airs. Il existe même un ancien texte appelé Jain
qui décrit un appareil nommé Pushpaka pouvant transporter
plusieurs personnes d'une ville à l'autre. Au meilleur temps
de l'empire, il y avait tellement d'appareils volants voyageant
dans le ciel que l'on pouvait facilement voir le rayonnement jaune
de leur moteur la nuit.
L'Empire
Rama était menacé par un ennemi encore plus puissant.
Cet ennemi de l'empire possédait une technologie supérieure
et ses propres machines de guerre volantes appelées Vailixi.
Ces envahisseurs étaient appelés les Asvins, un nom
que plusieurs théoriciens du Nouvel Âge associèrent
à l'Atlantide. Le Vailixi avait généralement
une forme de cigare; moins rond que les Vimanas. Comparativement
aux Vimanas, le Vailixi pouvait voyager aussi bien sous l'eau que
dans les airs.
Les
Ramans défendirent leur empire avec de puissantes armes terrifiantes
de destruction. Le « Mahabharata » décrit le
conflit comme suit:
«
Une foudre d'acier, un gigantesque messager de mort, qui réduisit
en cendre la race entière des Vrishnis et des Andhakas. Leurs
corps étaient si brûlés qu'ils étaient
méconnaissables; leurs cheveux et leurs ongles tombaient;
les poteries cassaient sans aucune raison puis la couleur des oiseaux
tournait au blanc. Après quelques heures toutes formes d'alimentation
étaient infectées. Pour s'échapper de ce feu,
les soldats se jetaient dans les eaux et se lavaient ainsi que leurs
équipements. »
Même
s'il n'existe aucune trace physique des Vimanas ou des Vailixis,
des évidences circonstancielles de conflits similaires à
celui des conflits nucléaires existent. Une mystérieuse
explosion de proportions atomiques nivela la ville de Mohenjo Daro,
dont la rumeur l'associe comme étant l'une des « Sept
Villes Rishi ». De plus, les mythologies sumérienne
et égyptienne parlent toutes les deux de conflits nucléaires
similaires lorsque les Dieux (voir les travaux de Z. Sitchin) se
promenaient dans de majestueuses machines volantes. La narration
biblique de la Genèse décrit la dévastation
de Sodome et Gomorrhe d'une façon identique à celle
utilisée dans le récit babylonien des Dieux incinérant
les villes et les plaines de leurs opposants.
En
1990, les excavations chinoises des ruines de Lhasa dans les montagnes
du Tibet permirent de découvrir une petite librairie de documents
écrit en Sanskrit. Les autorités chinoises qui étudièrent
les documents les trouvèrent si importants qu'ils les envoyèrent
à l'Université de Chandrigarh pour y être traduits
de la meilleure façon possible. Le Dr Ruth Reyna passa plusieurs
semaines traduisant les textes en chinois et en anglais et annonça
aux savants ébahis qu'il s'agissait de directives pour la
construction d'un navire interstellaire. Cette annonce produisit
une réaction vive des savants de l'Ouest qui retraduisirent
les écrits et rejetèrent la thèse d'une description
d'un engin interplanétaire. Ils étaient cependant
d'accord qu'il s'agissait d'une description des préparatifs
d'une expédition vers la Lune.
Alexandre
Le Grand a poussé aussi loin que les Indes sa conquête
du monde connu. Ses historiens gardaient des records assez précis
de ses invasions des terres qu'ils rencontraient. Malgré
le fait que leurs écrits servaient qu'à glorifier
l'empereur, les chroniqueurs du temps mentionnèrent qu'ils
furent attaqués par des boucliers volants qui apeura la cavalerie
et força Alexandre à regrouper son armée. Il
subséquemment conquerra l'Inde sans rencontrer aucune résistance
aérienne. Adolf Hitler était si impressionné
par l'étude des anciens textes indiens concernant les Vimanas
qu'il envoya plusieurs expéditions en Inde dans les années
30 pour en apprendre le plus possible sur les possibles technologies
secrètes qui auraient pu si trouver et permettre à
l'aviation allemande de dévaster toutes les nations qui se
seraient montées contre le parti Nazi. Heureusement, ces
expéditions faillirent. Si Hitler avait été
en mesure de réussir, de construire un Vimana, aucun pays
n'auraient pu arrêter sa domination.
Gilles
Milot
Président de l’A.Q.U.
Module
Orient : les pyramides comme celles de Gizeh
comptent parmi les ouvrages les plus monumentaux jamais créés.
Et les plus énigmatiques. Leurs dimensions font éclater
« la mesure humaine ». La physique statique, la géométrie
et les rapports astronomiques de la construction défient
notre entendement. Combien de temps a-t-il fallu pour construire
la pyramide de Chéops et pourquoi ce gigantisme ?
L’amphi est construit dans un décor style désert
et les espaces d’exposition sont très riches.
Module
Maya : un peuple d’astronomes géniaux ? Les Mayas,
les Olmèques, les Aztèques et d’autres peuples
amérindiens vivaient pour leurs dieux. Ils calculaient leur
retour avec le calendrier le plus compliqué du monde. Le
calendrier maya commence le 11 août 3114 av. JC. Que s’est-il
passé à cette date ? Et il prend fin le 23 décembre
2012. Que va-t-il se passer alors ?
Le spectacle vidéo est commenté par Erich von Däniken
himself…… enfin sous la forme d’un hologramme
plus vrai que nature. Quant à la pièce maîtresse
de l’exposition, il s’agit d’une superbe reproduction
de la dalle de Palenque. La preuve absolue, bien sûr, de la
théorie des Anciens Astronautes !
L’opinion du Centre de Recherches Astronomiques, Luxorion
© :
….
On peut aussi rappeler certaines fresques et tapisseries médiévales
tout aussi "énigmatiques". Dans un coin, derrière
certains personnages, on distingue des sortes de vaisseaux volants
à bord desquels se trouvent des personnages. Sur certaines
fresques des aborigènes australiens ou précolombiennes,
certaines figurines humaines semblent porter un scaphandre. A Palenque,
une dalle de 8 m2 sculptée par les Maya semble représenter
un cosmonaute aux commandes de son vaisseau... Ces indices sont-ils
l'interprétation artistique d'une expression ou les preuves
d'une visite extraterrestre ? Notre inconscient peut ici se révéler
notre ennemi. L'étude scientifique (anthropologique, historique,
artistique, théologique, etc.), objective et réaliste
n'apporte que des fragments de réponse. Elle laisse souvent
les chercheurs dans l'expectative. Pour Emmanuel Davoust, astronome
à l'Observatoire Midi-Pyrénées de Toulouse,
"toutes ces révélations sont à prendre
avec beaucoup de scepticisme, sinon avec une complète incrédulité".Sans
preuves, nous pouvons partager sa réflexion......... (http://www.astrosurf.com/lombry/index.htm)
Module
Megastones : Stonehenge : une machine à remonter
le temps des grands prêtres ? Dans le sud ouest de l’Angleterre
se trouve Stonehenge, un lieu de culte qui existe depuis des millénaires.
Stonehenge : une machine à remonter le temps mégalithique
qui remonte non seulement dans le passé mais se projette
aussi loin dans l’avenir.
Le spectacle vidéo est somptueux, mais j’hésite
à le qualifier : ambiance de rave-party aux sonorités
new âge ou documentaire d’archéologie alternative
!
Contact
: Choc culturel ou inspiration ? Les observations des ethnologues
de tous les coins du monde se corroborent : pour les peuples techniquement
sous-développés, les premières rencontres avec
des représentants de civilisations techniquement avancées
étaient des événements inconcevables. Tellement
incompréhensibles qu’ils défiaient ces étrangers
et essayaient de les imiter. Que signifient donc les mythes, les
dessins sur la roche, les modèles d’avions en paille
ou les poupées au look d’astronautes ?
Nazca
: Des pictogrammes pour les Dieux ? Le phénomène
de la plaine de Nazca au Pérou n’est visible que du
ciel. En effet, ce n’est que depuis un avion que l’on
peut voir des kilomètres de lignes droites. Et de gigantesques
dessins d’animaux forment le plus grand livre d’images
du monde. Qu’est ce qui a poussé des générations
entières de peuplades indiennes à creuser dans le
sol asséché des sillons de 70 mètres de large
et de 3,8 kilomètres de large ?
Le spectacle vidéo (les pistes de Nazca vues d’avion)
se déroule dans un amphi en verre ; je m’explique,
les fauteuils sont disposés sur d’immenses vitres,
et le spectacle se déroule également…. sous
les pieds !
Quelques notes sur Maria Reiche qui consacra une grande partie de
sa vie à ce sujet (d’après © http://www.abc-latina.com/personnalites/maria_reiche.htm)
Maria
Reiche est un nom indissociable des lignes de Nazca.
Cette mathématicienne allemande née à Dresde
en 1903 arriva au Pérou en 1932, travailla pour le consulat
allemand à Cuzco et devint sept ans plus tard l'assistante
de Paul Kosok. Reiche fut vite passionnée par ces lignes
et décida de s'y consacrer corps et âme. Elle desdia
en effet une trentaine d'années de sa vie à aussi
bien faire connaître qu'étudier et tenter de sauver
ce riche héritage du passé. Au début, les gens
croyaient qu'elle était tout simplement folle. Ils observaient
cette dame étrange s'aventurer seule dans le désert
avec un petit balai pour nettoyer les lignes et compiler des données
dès l'aube jusqu'à la lumière du crépuscule.
Elle tenta d'expliquer que ces lignes sont en corrélation
avec la position de certaines étoiles et qu'elles représentent
une sorte de calendrier astrologique. Elle continua inlassablement
ses recherches et donna des conférences à l'hôtel
Nazca Lines, où elle logea avant d'aller vivre à Lima
en raison de son âge avancé. L'année 1989 fut
terrible pour Reiche : l'atroce maladie de Parkinson la frappa sauvagement.
Peu de temps après, un glaucome lui enleva la vue. Elle mourut
le 8 juin 1998, à l'âge de 95 ans.
Challenge
: Sommes-nous seuls dans l’univers ? L’avenir des
hommes se situe-t-il dans l’espace ? La science réfléchit
déjà à des technologies nous permettant de
nous transporter, un jour, à une vitesse insoupçonnée,
dans les profondeurs de l’univers. Qu’es- ce qui nous
y attend ? Des formes d’intelligence largement supérieures
à la nôtre ?
Je
passe
rapidement sur la nourriture douteuse proposée par les restaurants
du module central. Je préfère évoquer les «
attractions » du complexe, un petit voyage en navette spatiale
à la surface de Mars et une plongée avec le Nautilus
dans les entrailles du lac d’Interlaken ; où, comme
chacun le sait, se trouvent les vestiges de l’Atlantide !
La librairie est décevante pour les non germanophones ; le
rayon français est maigrichon, mais il comprend quand même
l’ouvrage sur les Druides de Marc-Louis Questin….. Nous
prenons l’ascenseur pour monter dans la tour centrale
qui est un véritable sanctuaire. Tous les ouvrages de Von
Däniken, dans toutes les langues du monde, sont religieusement
exposés dans des vitrines. Impressionnant.
Nous
terminerons la soirée dans un restaurant « plus suisse
que suisse », à déguster charcuteries et fondues
au son d’une musique bêlante, mais manifestement appréciée
par des touristes asiatiques qui débarquent en bus toutes
des 30 minutes………
(1)
Nous nous sommes inspirés pour les commentaires du petit
guide remis aux visiteurs.