NOTES SUR LE PROJET DRAGON
Le
projet Dragon, initialisé en 1977 à la suite de phénomènes comme celui cité
dans cet article, avait pour but de rechercher la présence dans les sites mégalithiques
de manifestation de l’énergie terrestre. Divers indices ont généré
ce projet : les boussoles deviennent folles dans la vallée du « val
sans retour », au cœur de la forêt de Brocéliande ; la région
de Carnac connaît des anomalies de pesanteur, subit des secousses telluriques
bien plus que dans la région de Bretagne. Enfin, certaines constatations
astronomiques comme à Stonehenge (le pilier central est orienté au soleil
levant au solstice d’été, et enfin, une sorte de coudée de construction
et d’alignement des mégalithes, d’environ 0,85 m ; ( peut-être la
moitié d’un nombre déjà cité, 1,6180339 ?) On retrouve aussi le
triangle de rapport des côtés 3 4 5. !! La mise au point du projet
et des matériels d’études fut laborieuse. Les scientifiques décidèrent
de commencer leurs recherches avec des appareils à ultrasons. Un des leurs
avait en effet étudié les chauves souris, et avait remarqué des émissions
d’ultrasons sur un ley*. Un autre chercheur, John
Barnatt, se souvint que lors d’une inspection d’un cromlech, un natif de
la région lui avait raconté que les alouettes qui chantaient au dessus de
leurs têtes, à l’aube, paraissaient être attirées par les ultrasons émis
par le site. Les recherches commencèrent.
Après des déboires, les scientifiques s’aperçurent que les aiguilles de
leurs appareils bougeaient à l’aube, toujours avant le lever du soleil,
entre 10 et 30 minutes avant. Cela durait une heure ou deux. Ils remarquèrent
que les périodes équinoxiales sont plus productives… Le docteur G.V. Robins,
sorte d’expert de ce qu’on peut appeler les états énergétiques de la
pierre », émet une hypothèse : l’énergie solaire sous forme de
micro ondes excite les molécules des pierres, et provoque une transduction
d’énergie. Cette énergie provoque une onde de pression, donc un ultrason. Les chercheurs utilisèrent
des compteurs geiger. Là aussi, des réactions anormales furent enregistrées
par les appareils. Comme les chercheurs avaient mis au point des tests de
contrôle, les résultats furent sûrs. Les réactions exceptionnelles
n’eurent lieu qu’à proximité immédiate ou proche des mégalithes. Ensuite furent utilisées
les photos infrarouges, les photographies à effet Kirlian. Avec des résultats
plus que troublants. Il ne
faut pas que j’oublie de dire que le projet Dragon fut le résultat du
travail entre des scientifiques et des… radiesthésistes. Le nom même du
projet de collaboration entre ces chercheurs de formations différentes
provient de l’animal mythique, qui, chez les Chinois, symbolise les courants
terrestres. Il faut souligner ce fait, car il est rare que les scientifiques
et les chercheurs parallèles unissent leurs efforts pour expliquer des phénomènes
ayant des incidences colossales sur nos rassurantes vérités. Malheureusement, quand le
projet débuta, en 1978, il devait y avoir un rapport complet sur les
conclusions des recherches. En 1983, la personne avec qui j’étais en
contact m’a avoué que ce rapport n’était toujours pas publié. Les
recherches continuent. ****les fameux chemins
imaginaires ou visibles, comme en Amérique du sud ou en Europe, les lignes
entre les alignements ou monuments mégalithiques.
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